Lorsque le pseudo vaccin ARN messager est injecté dans le bras, seulement 25% reste dans le muscle du bras, le reste de l’injection est récupéré par le système lymphatique, qui le déverse dans le sang.
Maintenant, les particules d’ARN messager se retrouvent dans les vaisseaux sanguins et les seules cellules présentes pour fabriquer la protéine spike sont les cellules des parois des vaisseaux sanguins. Des trillions d’ARN messager sont déversés à chaque injection, et des trillions de protéines spike sont ainsi formées. Le but est que le système immunitaire se rende compte qu’il y a un intrus et vienne fabriquer des anticorps contre cette protéine spike. Ainsi, si la personne entre en contact avec un coronavirus qui a cette protéine spike, la personne sera protégée. Bien évidemment, elle ne le sera pas avec la protéine spike d’un variant !
Là où le bas blesse, c’est que dans les anciens vaccins, on avait le virus désactivé qui circulait dans le sang, donc, il était simple pour le système immunitaire de fabriquer des anticorps mais avec l’ARN messager, la protéine spike (pic en français) fait maintenant partie de la cellule du vaisseau sanguin.
Normalement lisse, pour faciliter la circulation du sang, le vaisseau sanguin est maintenant transpercé de pics. Les vaisseaux sanguins sont poignardés par les protéines spike déjà hautement toxiques.
Automatiquement, les plaquettes sanguines vont venir en masse essayer de réparer les vaisseaux sanguins endommagés en formant des caillots.
Les vaisseaux capillaires très fins vont finir par être complètement obstrués et le cœur va devoir exercer une pression plus forte pour faire passer le sang. La personne va être plus vite fatiguée car le cœur (augmentation de la pression artérielle) à son tour va être endommagé, ainsi que les poumons qui ne sont pas des organes qui se régénèrent et la personne va être très vite essoufflée (insuffisance respiratoire). Le cerveau et la moelle épinière ne se régénèrent pas non plus.
Les personnes « vaccinées » vont devoir vivre le reste de leur vie avec des organes endommagés, qui le seront encore plus à chaque injection., si entre temps elles ne sont pas décédées d’un infarctus ou d’un avc.
Le docteur Charles Hoffe suggère aux personnes vaccinées de faire un test D-Dimères pour voir si elles n’ont pas de caillots dans le sang.
Les concepteurs du vaccin croyaient que la protéine spike était la solution au problème de la covid 19 donc ils ont fait en sorte que le vaccin permette de créer des milliards de protéines spike mais maintenant, ils réalisent que c’est la protéine spike qui est responsable des organes endommagés et des millions de gens se font injecter le problème au lieu de la solution qui est de ne surtout rien se faire injecter du tout car les traitements existent et la »covid » tue 20 fois moins que la grippe !
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